L’érudition de Galilée pour les lettres n’est pas nouvelle. Eduqué dans un milieu culturel riche, ses goûts et ses préférences littéraires ne sont pas inconnus. On sait, par exemple, qu’il a eu une grande admiration pour l’Arioste et une aversion profonde pour le Tasse. Il compare ces deux écrivains poètes avec des courants artistiques qui ont lieu en peinture.
Madonna Di Foligno, Raphaël, 1513-1514, Musées du Vatican à Rome. 
Madonne et Saints, Annibale Carracci, Pinacoteca Nazionale Bologna 
Giorgio Vasari, l’Immaculé Conception, 1541, Galerie des Offices, Florence 
Raphaël, Autoportrait, 1506, Galerie des Offices, Florence. 
Annibal Carrache, Autoportrait de profil, 1590-1600, Florence, Galerie des Offices Galerie des peintures de la Rome antique, Giovanni Paolo Pannini. (Illustration d’un cabinet de curiosité, peint par un maniériste) 
Les ambassadeurs, Hans Holbein le Jeune, 1533, National Gallery, Londres. (l’anamorphose est une illustration propre aux maniéristes d’après Galilée) 
Détail de la toile « Les ambassadeurs » de Hans Holbein le Jeune, 1533, National Gallery, Londres 
Autoportrait, galerie du corridor de Vasari, Musée des Offices, Florence
Références bibliographiques et webographiques
E. Panofsky, Galilée critique d’art, Les impressions nouvelles, 2016
Galilée, Le messager des étoiles, Points Sciences, Editions du Seuil, 2000
La Vierge de Foligno — Wikipédia (wikipedia.org)
File:Annibale Carracci Madonna e Santi – Pinacoteca Nazionale Bologna.jpg – Wikipedia
Allegory of the Immaculate Conception, 1541 – Giorgio Vasari – WikiArt.org
Raphaël (peintre) — Wikipédia (wikipedia.org)
Annibale Carracci — Wikipédia (wikipedia.org)
Lodovico Cigoli — Wikipédia (wikipedia.org)
Référence musicale
Jordan Irvin Daly – Shanidar (Camaraderie Limited, 2009)
Petites histoires des sciences 
