
Pendant que l’Europe s’endort, l’héritage grec est cultivé et étudié de l’autre côté de la Méditerranée. Un épisode essentiel pour la transmission du savoir et l’émergence de la Renaissance.
Résumé
L’essor d’une civilisation ne rime pas forcément avec anéantissement de la précédente. L’assimilation du savoir antique par les arabes est probablement un des plus beaux exemples de cette transmission d’héritage. Le monde arabe a très tôt copié et traduit de nombreux textes antiques qui nous ensuite parvenus, car traduits à leur tour en hébreu et latin au début du deuxième millénaire.
Ibn-al-Haytham, dit Alhazen, Ibn Bajja, Ibn Rushd, plus connu sous le nom d’Averroès, ou encore Al-Tusi, critiquent et perfectionnent les modèles de Ptolémée.
Cet épisode, trop court, pourrait bien faire l’objet d’une nouvelle série à l’avenir.









Références bibliographiques et webographiques
Djebbar Ahmed, Une histoire de la science arabe ; Entretiens avec Jean Rosmorduc. ed du Seuil, 2001.
Duhem Pierre, Le système du monde, tome 3.
Jacquart Danielle, L’épopée de la science arabe, Découvertes Gallimard, 2005
L’image en avant a été générée par IA.
Toutes les autres images sont issues de Wikipedia.
Référence musicale
Jordan Irvin Daly – Shanidar (Camaraderie Limited, 2009)

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